Semi Marathon de Saint-Witz

Avant le départ, avec le Frangibus Jérôme. Comme d’hab, il finira devant…. loin devant...

Semi Marathon de Saint-Witz du 15 mars 2014

Quelques principes de mathématiques pour le semi-marathon

Premier principe: celui de la ponctualité.

Eviter de prendre le départ en retard et d’arriver en courant, car de toute manière,on va courir près de deux heures… Les conditions de départ n’étaient donc pas optimales.

Deuxième principe: celui de la transitivité.

Pendant la course, je suis tombé sur Eric de Nanterre, que je ne connaissais pas, un ami des CJC de Corse que je ne connais pas plus. En quelques mots, les amis de mes amis sont mes amis, et donc, on se fait un tas de copains sur le parcours même lorsqu’ils prennent de l’avance… (Bonjour aux copains de Corse donc).

Troisième principe: celui de non-compensation.

Tout ce que l’on descend, on le remonte. Cela s’est encore vérifié. Le parcours composé de deux boucles avec jonction n’était pas roulant. Des descentes, des côtes, des faux-plats et un vent de face sur la seule portion plate du parcours… et encore des côtes qui cassent les pattes… En fait, on peut descendre vite, on remonte encore plus lentement, d’où la formulation du principe précédent.

Quatrième principe: celui de l’inconnue.

En fait, ici, c’était un inconnu, me tapant sur l’épaule en pleine montée (d’ailleurs il m’a laissé sur place, lui aussi), pour me dire qu’il serait chez nous au mois de mai. Ma femme n’est pas au courant. Peut-être était-il invité chez Mich-Mich pour partager la recette du chou-fleur maison façon Ilda, préparation semi-marathon (attention, cela tient au corps mais cela va filer dur). Plus sérieusement, il envisageait peut-être de venir courir sur la Champ’Aisne… (JM va être content)

Cinquième principe: celui de la finitude.

Une fois parti, on est certain qu’il y a une arrivée, et là ,on est content d’y parvenir. Surtout que les deux derniers kilomètres étaient particulièrement difficiles avec le vent de face (encore lui).

Médaille souvenir millésimée, des organisateurs sympas, et la pomme du verger un peu dure, sans doute sponsorisée par un dentiste en mal de clientèle (un coup à laisser un bridge mal collé). Sur le parcours, de nombreux supporters, notamment un Leprechaum avec banjo, en avance pour la St Patrick. J’aurai bien aimé partager alors une bonne Guinness, one stout beer.

Dernier principe: celui de la compensation

qui vient contredire le principe troisième. A plus rien n’y comprendre donc. Il s’agit d’écrire d’autant plus, que l’on a moins de photos pour illustrer, d’écrire moins pour courir plus vite. J’arrête ici de blaguer, euh… de blogger…. Chierry j’y cours…